Rendez-vous avec Sanderink ...

Pour ceux qui comprennent quelque chose :

http://nl.wikipedia.org/wiki/Gerard_Sanderink

une page sur wikipedia, fallait le faire !!!

et pas de nouvelles des syndicats??

salut à tous

quelqu'un à déjà reçu des news concernant le rendez-vous d aujourd'hui entre les permanents et gérard?????????????,

A la radio (vivacité BW) ils ont dit qu'il n'y avait pas d'accord avec les syndicats et que la saga Apem continuait. Les syndicats déposent plainte.
Ce mec est trop fort. Si un de nous ne se présente pas au tyravail pendant 3 semaines sans donner de nouvelles il est viré aussi sec. C4 automatique sans compensation. Et lui il nous laisse tomber comme des vieilles chaussettes et nous sommes encore les mauvais!!
Si la justice ne lui fait pas comprendre que nous avons aussi des droits alors je croirai que notre justice est pourrie.

Hello,

Je n'ai pas pu me joindre à vous ... boulot oblige
Quelqu'un pourrais faire un petit résumé de votre réunion de ce jour avec Didier et Benoit ?

Merci d'avance.

Salut Chris,
je t'ai répondu en MP.
A bientôt.

Merci Luc, bien reçu.
Merci

Salut tous

Euh... suis preneur aussi d'infos en mp

A+!
Alain.

Alain, je t'ai envoyé les info en mp.
A+

Bien reçu,
Merci Luc !!

Bonne soirée à tous,
Alain.

Voici ce qu'ils ont osé écrire dans la DH

La direction de Centric contredit les accusations des syndicats (05/09/2007 14:38)


La direction de la société néerlandaise Centric, spécialisée dans l'IT, a dénoncé mercredi "les graves accusations" concernant une faillite frauduleuse et le licenciement illégal de 42 ex-employés de la société Apem, réagissant ainsi aux déclarations des syndicats, lundi après l'échec des négociations sociales. Centric a déclaré la société Apem en faillite le 21 juillet, fermant les implantations de Schelle et de Wavre et licenciant 172 personnes. Selon les syndicats, il était convenu avec le curateur que 49 travailleurs seraient repris, mais à peine Centric avait-elle créé cette nouvelle société qu'elle la déclarait en faillite quelques jours plus tard. Centric nie que ces travailleurs aient été concernés par cette faillite et indique qu'un nouvel emploi leur a été proposé. Seuls 7 d'entre ont accepté. Bien que les 42 travailleurs restant n'aient jamais travaillé pour Centric, les syndicats réclament de lourdes indemnités de licenciement et des arriérés de salaires. Afin d'éviter une procédure, Centric a proposé 5.000 euros de compensations, mais les syndicats ont repoussé cette offre. Centric emploie 5.200 personnes dans le monde dont 650 en Belgique. (NLE)

il faut allez voir les comm's sur skynet.be belgique c 'est honteux ce que les gens écrivent alors qu'ils ne savent même pas de quoi ils parlents

C'est effectivement particulièrement diffamatoire cette intervention du fameu "solong1950"!

Et cela ne doit pas être facile à lire pour vous de voir des gens minimiser ainsi la situation...

Cet article émane de l'agence Belga, j'ai donc envoyé à la rédaction de cetta agence la réaction ci-dessous et j'ai exigé la publication d'un rectificatif.

L'article publié par votre agence de presse et signé NLE, reproduit ci-dessous, est rempli de mensonges et est insultant pour les employés laissés sur le carreau.
Centric n'a pas mis Apem en faillite le 21 juillet, la faillite de la société Apem a été déclaré par le tribunal de commerce le 5 juillet. A cette date un curateur a été nommé pour trouver un repreneur.
La priorité de la curatelle a été de choisir le repreneur qui reprendrait le plus de personnel. C'est donc Centric Holding qui a été choisi car ayant opté pour la reprise de 172 personnes. La convention de reprise a été signée le 18 juillet. La liste des "heureux" repris devait être communiquée pour le vendredi 20 juillet à 12h00 au plus tard. Non seulement, nous avons du attendre jusqu'à 16h00, dans un climat de tension insoutenable, mais en plus les listes ayant été changées 2 à 3 fois au moins durant la matinée, le curateur a commencé la lecture d'une mauvaise liste. Je ne vous raconte pas l'état de certaines personne. La convention de reprise contient une liste nominative des personnes reprises. Ces personnes sont réparties sur deux sociétés du groupe Centric. A savoir que tout ce qui est outsourcing est dirigé vers la société Centric managed ICT services Brussels (pour ces gens là nous ne sommes au courant d'aucun problème), le restant ( field, labo, compta,...) est dirigé vers la société Quadris.
Dans la journée du 21 juillet, monsieur Sanderink décide de se céder à lui même le personnel placé chez Quadris vers une société nommée Centric managed ICT services Schelle. A cette date, cette société n'existe pas, elle sera créée le 2 août, publiée au moniteur le 10 août mais mise en faillite le 9 août. Le transfert de ce personnel n'a jamais été validé par un conseil d'entreprise, et de plus le personnel n'en a jamais été personnellement avisé. Nous avons donc considéré à juste titre toujours faire partie de la société Quadris. La convention stipule aussi que l'activité est maintenue sur le site de Wavre pendant une période de minimum trois mois. Or le 6 août, au retour d'une réunion, l'accès au installation nous est interdit par une cohorte d'une dizaine de policiers en gilet pare-balle et matraque en main??? Le lendemain, constatation de ce fait est constatée par exploit d'huissier. La semaine suivante, après concertation avec le personnel concerné et les syndicats, une mise en demeure de nous fournir du travail pour le 20 août au plus tard est envoyée chez Quadris. Cette mise en demeure restant sans réponse, un nouveau constat est réalisé par huissier et nous signifions à Quadris la rupture unilatérale (en son chef) de notre contrat de travail. Comme par hasard, nous commençons à recevoir des courriers recommandés par le biais d'une autre société du groupe et ceci afin de nous proposer un nouveau contrat de travail. Dans la tête de ce patron, il nous a placé dans une société bidon pour se débarasser de nous et maintenant, il voudrait nous réengager. On nage en plein suréalisme.
C'est incroyable, nous aurions refusé le paiement d'une indemnité de 5000 euros. Et bien oui. Il faut savoir que légalement, la société Quadris nous doit encore les salaires de nos journées de travail du 21 juillet au 21 août, nos préavis légaux, double pécule,... . Certains d'entre nous ont dix ans d'ancienneté, faites le compte en mois de préavis et vous vous apercevrez que nous proposer 5000 euros c'est se foutre du monde. Sans oublier que ce montant de 5000 euros qui nous a été proposé nous a été présentée comme une indemnité morale. Or, sans jugement, cette indemnité morale est considérée comme une banale indemnité grêvée de taxes et d'impôt. Au bout du compte, il n'en resterait que 2500 euros. Auriez-vous accepté?
Le groupe Centric est loin d'être en difficulté financière, et l'an passé à pratiquement doublé son chiffre d'affaire qui tourne aux environs de 600.000.000 d'euros. Notre ex-employeur a donc largement les liquidités nécessaire pour payer ce qu'il nous doit. Dernière information en passant, la fortune de monsieur Sanderink s'élève à plus de 250.000.000 d'euros, faite en reprenant et en "restructurant" des sociétés. Nous travailleurs lésés, estimons avoir été insultés par cet article diffamatoire et exigeons la publication d'un rectificatif

alors là patrick chapeau j'espère que l'agence va le publier et qu'on arrête enfin ce type

Bravo Patrick.
J'avais demandé à Didier de publier un droit de réponse suite à l'article de l'agence Belga. Je vois que tu as pris les devants de manière magistrale.
Encore bravo.

Voici l'article de It-Professional paru ce jour

Les controverses sur la faillite d'Apem ne s'arrêtent pas
Les syndicats et la direction de Centric bombent le torse
Jibbe Van Oost
06 septembre 2007
Source: itprofessional.becet article
Les relations entre les syndicats et la direction de Centric, le groupe néerlandais de services IT, semblent tourner davantage au vinaigre à chaque série de négociations sur la reprise d'Apem déclaré en faillite. Après la dernière réunion du 3 septembre, les syndicats se sont plaints à la presse des indemnités de 5.000 euros offertes à 42 anciens travailleurs d'Apem. Ces indemnités seraient inférieures aux sommes auxquelles les anciens travailleurs d'Apem auraient droit. Centric a réagi le lendemain dans un communiqué de presse où il déclare que les syndicats ne visent que des avantages financiers pour leurs membres.

La direction de Centric a promis lundi, au cours des discussions avec les syndicats, une prime de départ de 5.000 euros pour les 42 travailleurs d'Apem qui ne seront pas repris chez Centric. "Pour éviter des procédures inutiles", affirme Centric dans un communiqué de presse. Dans le même communiqué, Centric rappelle également que ces personnes n'ont en fait absolument pas droit aux salaires impayés ni aux indemnités de licenciement qu'exigent les syndicats. Raisons: ces 42 travailleurs n'ont jamais été occupés par Centric.

Centric a en effet promis lors de la reprise d'Apem de garder 172 personnes, mais il a été très vite clair que 49 personnes iraient dans une SA déclarée aussitôt en faillite. Centric n'a finalement pas exécuté ce plan et a attendu avant de proposer un emploi à ce groupe de 49 personnes. Seuls sept d'entre eux semblaient intéressés. Pour citer Centric: "Bien que Centric ait proposé un nouvel emploi à ce dernier groupe de 49 anciens travailleurs d'Apem, seuls sept semblaient vraiment intéressés par un nouvel emploi." Depuis, aucun d'entre eux n'a été payé. Les sept personnes qui ont accepté l'offre de Centric ont maintenant reçu les arriérés de salaires.


Les relations entre les syndicats et la direction de Centric, le groupe néerlandais de services IT, semblent tourner davantage au vinaigre à chaque série de négociations sur la reprise d'Apem déclaré en faillite.

quelle honte ces journaleux qui publient des "trucs" sans même faire le moindre travail journalistique d'investigation! je suis curieux de savoir comment sanderinck dicte à belga ce qu'il doivent publier... honteux et plein d'erreurs en plus, sur les chiffres nottament. vraiment pitoyable

Patrick il est vraiment très bien ton compte rendu, bravo!
y a t il eu des suites à ton envoi?

Citation :

Centric a réagi le lendemain dans un communiqué de presse où il déclare que les syndicats ne visent que des avantages financiers pour leurs membres.

démagogie !

les gens ont des droits en belgique monsieur sanderinck